Tucson -Arizona-

Voilà qu’une attente surprise à l’aéroport de Denver nous permet de remettre à jour notre blog… En effet, nous voici coincés dans cet aéroport car le pilote de notre avion est lui-même coincé à l’autre bout du pays… merci la neige ! Ah ! Une annonce : finalement, c’est 11h d’attente minimum, pour savoir si on peut partir…après-demain !!…Affaire à suivre

Voila un préambule contrastant avec la merveilleuse semaine de noël passée à Tucson en compagnie de Véronique. Au programme, cocooning, randonnées, souper de Noël et envolée de lanternes à la thailandaise…Régalez-vous !

Joyeux Noël à tous !

Cf Album

Alan & Eve, stuck @ the airport…

Les collines de San Francisco!



Finis la plage et les cocotiers : le trafic reprend ses droits et la nuit tombe si tôt…Nôtre voyage prend ici un virage psychologique dans la direction du retour vers le Québec. Heureusement, nos amis Josée et Yannick nous changent les idées en nous accueillant à bras ouvert dans leur nouveau petit cocon de la rue Blake. Après avoir visité la ville et le fameux Golden Bridge, c’est la direction de l’aéroport que nous prenons : Tucson et Véronique nous y attendent ! Cf Album

Alan & Eve, over the bridge.

OK-Coral Coast -Fidji-


Ayant changé de planning, nous prenons le cap de la « Côte du Corail », pour un hôtel en face de la barrière de corail, dans le village de Sigatoka. Déçus du premier hôtel, nous changeons pour un deuxième avec piscine. La barmaid nous permet même d’aller cueillir les quelques mangues qui nous faisaient de l’œil à se balancer gentiment sur l’arbre, flirtant avec nos papilles… C’est à se même bar que nous rencontrons Alex & Mike, propriétaire du club de plongée d’à côté. Vu le peu de touristes, il nous propose un excellent prix : marché conclu pour 2 plongées le lendemain matin. Étant donné que c’est notre dernier jour en hotel dans les iles (le lendemain nous devons dormir avec couchsurfing, avant notre départ en avion) nous décidons Eve et moi, de nous faire plaisir… Après avoir écumé les hôtels de la côte, nous sélectionnons l’un des plus beaux pour notre dernière nuit. Au Diable la culpabilité du porte-monnaie ! Nous passons une merveilleuse nuit dans une très belle chambre du Bedarra Beach Inn où nous dépensons la majeure partie de ce qui nous reste en monnaie Fidjienne. Nous rencontrons au passage le couple Dunlop, voyageur au long court, qui nous font goutter un bon vin Néo-Zélandais. Au programme du matin : levé 7h, dans l’eau à 9h, avec les bouteilles sur le dos. Mais à notre levé, C’est un cyclone de force 1 qui nous réveille. Bien évidemment, la plongée est annulée. Au cours de la matinée, il atteint une force 2 pour être à son apogée vers midi, avec des vents à 270 km/h. Devant l’hotel, c’est le carnage, les arbres plient sous le vent et tombent (la voiture du boss est sous un cocotier…). Un avis de danger est lancée sur l’Ile : plus rien ne circule. Et nous voila bloqués dans cet hôtel. L’absence totale de moyen de locomotion nous oblige à y passer une nuit supplémentaire pas tout a fait prévue. Ce même jour aurait du être notre jour de retour des iles si nous ne l’avions pas annulé…Nous réussissons à trouver un taxi le lendemain pour retourner chez la famille de Oripa, afin de récupérer nos dernières affaires et de prendre l’avion. Les adieux sont difficiles, mais nous savons que souvent ils laissent souvent place à de nouvelles rencontres…c’est aussi cela le voyage !

Cf. Album

Alan & Eve, on the plane

Bula! -Fidji-


Après avoir rendu notre sac de couchage roulant Néo-Zélandais, nous nous envolons vers les Iles du pacifique et atterrissons à Nadi -Fidji-. C’est une atmosphère humide et de chaleur lourde que nous sentons à l’ouverture des portes de l’avion. Nous passons notre première nuit via couchsurfing et avons un premier aperçu de l’accueil fidjien : enveloppant et jovial. Notre deuxième dodo se fait dans une autre famille fidjienne dont la matriarche est accessoirement agente de voyage. Elle nous permet de planifier la suite: 5 jours à se balader d’iles en iles au beau milieu du pacifique. L’arrivée sur la première ile, après 2h de bateau, se fait en boutre bleu, rempli de locaux. Cela nous ramène à notre jeunesse comorienne et les souvenirs fusent. Mais après quelques jours sur cette île, nous sentons la prochaine destination trop touristique pour nous et décidons de rester au Naqalia lodge (tenu par une famille locale). Nous écourtons donc notre séjour dans les îles touristiques. Au programme pour nos dernières journées sur cette île : rien… ;-)

Cf. Album

Alan & Eve, on the boat

Y’a pas qu’des « caves » en NZ… mais celles-ci sont jolies!

01/12 : il pleut. 02/12 : il pleut.3/12 : il pleut… Alors comme il faut bien s’occuper en ce temps de… pluie, nous nous dirigeons (sous la pluie !!!) vers Waitomo, où les « Glow-warms Caves » nous attendent (depuis des millions d'années quand même...). Ces cavités, dont certaines mesurent de plus de 12 km, sont dans la noirceur totale (avis aux claustrophobes ;-)). Ces grottes comportent une curiosité lumineuse de la nature : des milliers de ces vers dont l’extrémité renferme une enzyme qui au contact de l’oxygène fluoresce. C’est donc un plafond étoilé que nous visitons. Voyager dans la galaxie, sur un zodiac rouge, par -20m au dessous du sol… C'est possible ;-)

Cf. Album

Alan & Eve, under the road

Rotorua & Orakei -NZ-


Après une nuit bien méritée dans un hôtel tout confort, et une visite de sources thermales au sein même de la ville de Rotorua, nous mettons le cap sur Orakei, une autre zone thermale volcaniquement active. C’est avec une courte randonnée que nous visitons ce domaine. Nous croisons des Geysers aux éruptions imprévisibles, des terraces de silices et de souffres, des fontaines d’eau bouillante plus ou moins acides (plongez y votre pendentifs en argent, il en ressortira brillant comme neuf !). Au coin d’un chemin, appariassent des piscines de boues bouillantes ainsi qu’une grotte dont le fond aquatique est de couleur émeraude et l’origine incertaine…. Ce parcours terminé, nous reprenons Titine et réglons notre boussole pour arriver du coté de Taupo, ville dans les montagnes…et sous la pluie !

Cf. Album

Alan & Eve, on the volcanic road...

Mont Maunganui – Nouvelle Zélande-


Quoi de plus relaxant que de courir en couple sur la plage ou encore de manger des palourdes fraichement péchées par vos soins ? Eve répondrait « prendre un bon bain chaud » ;-0 car ce sont les douches froides des plages que nous utilisont depuis quelques jours. Et vue la taille de notre lit et le manque de sommeil, nous décidons de prendre un B&B ce soir…avec l’addition d’un petit champagne pour accompagner la douche chaude...

C'est aussi cela l’itinérance;-) (Cf. Album) !

Alan & Eve, on the couch

Hot Water Beach & Coromandal Peninsula –Nouvelle Zélande-


Imaginez une plage sur laquelle il vous suffit de creuser quelques centimètres afin de recueillir de l’eau thermale chaude, si chaude que si vous y plongez votre main vous pouvez vous brûler. C’est cela que nous expérimentons à Hot Water Beach (Album). Mais avant de creuser, il faut trouver la source d’eau chaude… Pour cela, rien de mieux que l’entraide ! C’est donc en groupe que nous creusons pendant plusieurs dizaines de minutes notre nid, où l’eau glacée de l’océan vient alors se mêler avec la source thermale… Un vrai régal ! Pour quelques minutes seulement car la marée montante nous rappelle à l’ordre…

Après une autre nuit passée sur cette plage dans notre nano-camion, nous prenons la direction de « Coromandel Peninsula » où une courte randonnée nous mène à « Cathedral Coves », le « Rocher Percé » néo-Zélandais, baignant dans une eau froide mais turquoise… La routine quoi ;-) (Cf. Album)

Alan & Eve, « plouf » in hot water…

Brisbane-Australie- & Auckland –Nouvelle Zélande-


Après avoir été merveilleusement accueillis par nos hôtes Ed & Renée, rendu notre Titine roulante, nous visitons Brisbane et tombons amoureux de cette paisible ville, à la fois verte et colorée. Nous nous baignons dans la piscine du centre ville ouverte à tous et mangeons une « Pie » non pas sucrée mais à la viande, une spécialité locale. Et c’est avec tristesse que nous quittons nos nouveaux amis pour atterrir à Auckland –Nouvelle Zélande-.

Nous passons la première nuit dans un backpacker afin de nous laisser le temps de reprendre une nouvelle titine, celle-ci bien plus petite… Et hop ! Nous repartons sur les routes vertes du pays des Kiwis (l’oiseau ! Non pas le fruit !) après avoir visité tous les recoins du musée historique de la ville… Prochaine destination, la plage….si si encore!!

Alan & Eve, on the plane...

Bundaberg, Rainbow Beach & Tin Can Bay -Australie-


Après les œufs de pierre, nous revenons vers de vrais œufs tout frais, ceux-ci pondus sous nos yeux. C’est à Bundaberg, au parc « Mon repos », que des centaines de tortues, guidées par leur instinct, par le magnétisme terrestre et parfois aidées par la nature humaine, viennent pondre. À « Mon Repos », il est possible d’assister à ce moment privilégié. Direction la plage, accompagnés d’une horde de touristes! Une tortue est en « pleine action » et bien que nous trouvions cette expérience intrusive, elle nous émerveille tout autant ! Les tortues pondent en moyenne 125 œufs et ce, 3 fois par année. La tortue que nous observions a pondu plus de 145 œufs en moins de 20 minutes! Une fois fait, elle passe plus de 20 minutes à les enterrer, puis retourne à la mer et reviendra lorsque la deuxième portée sera à terme. A « Mon Repos », leur mission est de veiller à la perpétuation des tortues notamment en protégeant les œufs des prédateurs.

C’est sur la direction de notre prochaine étape, Rainbow Beach, que nous visitons les « Mystery Crater », une attraction touristique locale (cf. album). Un peu déçus par cette dernière, nous décidons de nous remplir la panse de crème glacée saveur gingembre-vanille (miam miam !) et de vin fait à partir de baies rouges. Un vrai régal ! Après une nuit de sommeil sur la plage, ce sont avec les dauphins que nous avons rendez-vous le lendemain… un moment fort attendu ! (cf. album Tin Can Bay).

Alan & Eve, on the sandy road

Mount Hay & Tunder eggs -Australie-


Après un petit détour par le mont Archer pour un pique-nique avec des oiseaux affamés, c’est au mont Hay que nous posons l’encre, à environs 250m d’altitude. Mais ce n’est pas la hauteur qui sort de l’ordinaire dans ce site où nous passons la nuit… L’endroit est situé sur une ancienne coulée de lave qui a rencontré l’océan il y -/+ 100 millions d’années créant un contraste de température. En pénétrant dans l’eau, des millions de bulles de gaz ont été emprisonnées dans la lave, qui en fossilisant a donné les « Thunder eggs ». C’est donc avec notre piolet et notre chapeau que nous visitons cette mine à ciel ouvert, à la recherche de ces œufs : un "Pâques d’attraction" pour adulte ;-)

Cf. Album

Alan & Eve, « In » the road

Cairns –Australie-



Après avoir investit notre nouvelle maison roulante ci-nommée «Hippie-Camper » à Cairns et flirter avec les lignes blanches durant notre initiation à la conduite à gauche, nous prenons la direction du « Glacier rock », petite rando pour commencer dans ce pays. En fait, les premiers jours ont été plutôt difficiles : nous avons du nous réadapter aux prix occidentaux (après 4 mois de pays où 15 dollars par jours suffisent pour vivre très bien). Alors quand le chauffeur de taxi, après cinq minutes de course, de l’aéroport à l’agence de location, nous demande 15 dollars, nous le regardons en pensant « Quoi !! Mais nous aurions pu avoir un nuit dans une superbe guesthouse en Indonésie pour ce prix » et en lui répondant : « Merci, passez une excellente journée… ». Aïe, l’Australie, c’est cher. (Cf. Album)

La pilule avalée, nous visitons les campings mais aussi les parcs nationaux, plus dépaysants. Sur notre route, nous passons par Port Douglas, petite ville côtière, le « Billabong Sanctuary », espèce de zoo à aire ouverte, pour atterir au Cape Hillsborough National Park pour une nuit sur la plage (Cf. Album).

Demain, direction Mount Hay’s Gemstone Park, où nous allons pouvoir recharger les batteries (frigo…) de notre Titine-Camper, et surtout, partir à la découverte de pierres précieuses « Thunder Eggs »… (on n’a aucune idée de ce que c’est, mais c’est écrit ainsi dans notre guide ;-)).

En se relisant, cela ressemble à une suite d’activités… mais chacune est ponctuée de beaucoup de kilométrages ! Pour le moment, ce pays nous rappelle les Etats-Unis, avec des kangourous, des aborigènes et le « charmant » accents des australiens en plus...

À suivre !

Alan, Eve & Titine, on the -long- road

Kuta -Indonésie du sud-


Dernier jour en Indonésie: Sea. Sun & Surf... (Cf. Album)

Ile de Gili Trawangan -Lombok, Indonésie-


Sable blanc, soleil brûlant, eau turquoise, apnée, tortues, farniente, steak de barracuda, crevettes à l’ail, milkshake à la vanille, mangues à profusion, … Le BONHEUR, mais en mieux ;-) !!!!

Cf. Album Gili

Alan & Eve, on the road... on the sea !


De retour sur la route de Bali! Et en bonne santé en plus ;-)





Enfin!! Nous voyons et surtout, nous voyons clair!! Même si nos yeux restent encore un peu sensibles au vent, au soleil et à l’eau de mer, ils nous permettent néanmoins de reprendre la route, quittant Yogjajakarta, nos amies Evi et Nenny ainsi que toute l’organisation du transport de nos meubles. Autant dire que ces derniers jours n’ont pas été de tout repos !

Nous reprenons alors la route en direction de temples bouddhiste et hindou pour une visite éclaire des deux sites. Le premier, Borobudur, est la première attraction touristique du pays. Il s’agit d’un temple bouddhiste (775AJC) réalisé avec plus de 1.6 millions de briques de pierres volcanique chacune déplacée et replacée (!) pour rénovation par l’UNESCO en 1973 pour la modique somme de 21 millions de dollars (US)… Titanesque tâche! Après quelques heures de routes, nous rejoignons ensuite le temple hindou de Prambanan (832 AJC) dont une partie est à terre après les derniers séismes (Cf. Album). Après une nuit de repos bien méritée, nous reprenons la route (11h en minibus…) pour rejoindre le petit village de Cemoro (2000m d’altitude) afin de préparer la visite du mont Bromo, qui se fera à 3h am…Levé de soleil oblige ! Bien que très touristique, nous nous frayons un chemin dans la foule au sommet afin d’observer le levé de soleil donnant sur ces cratères… paysages à couper le souffle (Cf. Album Bromo).

Et c’est bien en termes de souffle que nous allons comprendre, dans notre deuxième randonnée sur le mont Ijen, que le notre est bien limité !

Après 2h de montée, nous croisons les nombreux porteurs de souffre qui eux, réalisent 3 à 4 fois par jour cette randonnée à des fins professionnelles… Grimpant jusqu’au sommet afin de redescendre au fond du cratère pour découper des morceaux de souffre pour les transporter dans de petites cajettes pesant environs 100kg. La fumée de souffre au fond du cratère est très irritante, nous y sommes depuis à peine quelques minutes que nous suffoquons. Eux, y travaillent…. Selon la direction du vent, le rideau de fumée s’ouvre et laisse alors apparaitre le lac d’un turquoise tropical, d’une douceur à s’y méprendre : c’est un lac d’acide. Emerveillés à en oublier la fermeture du rideau… EEUUURRRKKK !!! Il nous faut remonter ! Environ 4h pour un aller-retour, et avec 100 kg sur le dos et un dénivelé de 1500 m, ces porteurs gagnent 10 dollars l’aller-retour. (Cf. Album Ijen)



Après ces deux jours de randonnées et nos 18h de trajet, nous arrivons à Ubud, capitale culturelle de Bali. Nous nous rendons très vite compte que bien que très jolie, la vie culturelle tourne autour du touriste et avons plus de difficulté à sentir la spontanéité locale que nous privilégions d’habitude. C’est aussi à Ubud que nous lavons tout notre linge en machine. Cela faisait au moins 1 mois que nous les lavions à la main… c’est si bon de se sentir dans du linge (totalement) propre et doux !!! C’est aussi cela les petits plaisirs simples du voyage! (Cf. Album Ubud)


Après Ubud, nous nous arrêtons à Amed, au nord-est de Bali. En fait, nous arrivons en retard à notre rendez-vous pour le départ en minibus de Ubud... Cela faisait deux jours complets que nous étions sur Bali à l’heure de Java... Avec une différence de 1h, rien ne nous avait mis la puce à l’oreille ! C’est ça être en vacance ! Nous profitons à notre arrivée d’une pause plongée ! Nous visitons le « Liberty » par 25 m de fond… plaisir des yeux, même si le sel nous rappelle à l’ordre : nos petits yeux sont encore un peu sensibles! (CF. Album Amed)

Après quelques crevettes locales à l’ail, nous nous endormons au son des vagues en pensant à notre prochaine destination : les Iles Gili, au nord de Lombok. On dit de ces iles que ce sont les plus beaux fonds marins du monde… nous vous confirmerons cela ;-)

A&E -back- on the road

Oeil pour oeil...


Ce "post" est un petit clin d'oeil à mon Amoureuse. Nous le savons tous, l'une de ses plus grandes qualités est sa générosité sans limite. Merci Eve pour avoir partagé avec moi ton mignon virus qui donne des yeux de spiderman...Plus sérieusement, ce n'est pas trop grave étant donné la précocité de sa détection! Quelques jours de repos pour nous deux et nous serons remis sur les rails!

Vivement qu'on bouge, vivement qu'on voit, et vivement qu'on redecouvre ;-)
Alan & Eve,
on the -side- road



Jogjakarta –Indonésie- tourisme hospitalier…

Nous voila arrivés depuis 1h que nous rencontrons Effie et Nanny, deux locales travaillant dans la mode avec qui nous sympathisons très vite au point de s’en lier d’amitié. Sur le chemin de l’hôtel, trouvé grâce à elles, l’œil de Eve commence à la gêner…Apres une nuit d’intense douleurs le diagnostique tombe à l’Hôpital local : conjonctivite virulente….Apres 3 autres jours où la situation empire nous décidons d’aller dans un hôpital spécialisé pour les yeux (après avoir envisagé un rapatriement), l’un des seuls en Indonésie, situé a Jogjakarta….Deuxième diagnostique, ce n’est pas une bactérie mais un virus, les précédents médicaments n’ont donc pas fait effet… Résultats, nous posons l’ancre 2 semaines ici afin que Eve puisse reprendre des forces même si la situation reste stable sans véritable amélioration. Parallèlement, nous voici propriétaire de tous nos meubles, achetés sur place, et bientôt près à être envoyé ! Nous vous tiendrons informé sur l’état oculaire de Eve.

Cf. Album

Singapore...


Après avoir investie notre chambre (dans une guesthouse du nord de singap.) accessoirement nommé « Momo » (nous n’avons pas choisi ;-)), nous sommes allé découvrir la polyvalence de la gastronomie Singapourienne qui n’est autre que la présence des gastronomie de tous les pays d’Asie du sud est…C’est l’exultation pour nos papilles, nous essayons tous les plats possibles et imaginables, bien conseillés par nos amis Daphné Et Alexandre, rencontrés plus tôt en Malaisie. Ponctué par une petite grippe fiévreuse pour Eve, nous visitons les différents quartiers de Singap., chinois, indiens arabe…Le lendemain, nous visitons le zoo (a priori le plus grand du monde) rencontre avec toute sorte de bestiole plus ou moins connues. Nous terminons la journée par un petit verre dans un chic hôtel au 70ieme étage d’un luxueuse tour de Singapore. 10min pour boire notre verre, c’est ce que le videur a daigné nous laisser comme temps car nous ne correspondions pas au « Dress code » de l’étage…Les cuisse de Eve était pourtant épilée ! Peut être pas les miennes ;-)

Allez, au dodo car demain, nous décollons pour Jogjakarta en Indonésie ! Cf. Album

Les îles Perhentian -Malaisie-

Après avoir visité Kuala Lumpur (Cf Photos KL), et ayant pour contrainte l’arrivée en Indonésie que dans 8 jours (question de visas), nous décidons de remonter vers le nord avec l’aide de Air Asia… Direction les iles de Perhentian! Elles sont considérées par plusieurs comme faisant partis des plus belles îles du monde, bien qu’elles soient difficiles d’accès... En effet, ces deux iles sont accessibles par train, par bus ou par avion. Un arrêt au port de Kota Besu est nécessaire et ensuite, nous devons sauter dans un ptit bateau moteur (30 min du port) pour enfin y arriver. Nous choisissons donc de loger sur la plus petite île, et de suivre nos 2 couples d’amis français forts sympathiques, rencontrés à l’aéroport et sur le bateau. Direction le « D’Lagoon resort » (le mot est peut-être un peu fort !!!!) où nous y logeront 3 nuits. Les iles sont effectivement très belles, leurs plus beaux attraits selon nous étant le sable blanc et la mer turquoise et transparente. Toutefois, elles n’ont certainement pas le charme de Kho Phiphi, Kho Phan Gan et Kho Tao (il faut dire qu’on est tombé littéralement amoureux de la Thaïlande !). Nous nous sommes donc prélasser quelques jours sur les îles avec un des couples français (l’autre ayant quitté pour la plus grosse île) à faire du kayak, du snorkelling et de la bronzette !

Nous avons également fait la connaissance de VJ, petit singe apprivoisé par une employée du D’Lagoon. VJ étant un vrai filou, il saute sur toutes les occasions pour voler caméra, lunettes en plus de mettre la main sur nos billets de bateau 5 minutes avant notre départ !!!!! Le conducteur du bateau nous a d’ailleurs regardés d’un drôle d’air lorsque nous lui avons dis qu’un singe avait mangé un de nos billets !!!!!

Pour l’anecdote, lors de la dernière nuit, on se couche tranquillement mais voilà que vers 4h30, je sens quelque chose me tomber sur la tête et reprendre son élan, pour ensuite faire tomber notre bouteille d’huile de coconut. Je me réveille donc en sursaut (près de la panique) et me demande ce qui vient de se passer. Alan me dit que c’est probablement un lézard et me suggère d’ouvrir la lumière pour mieux voir. Voilà que nous apercevons notre ami le rat, qui tente de sortir par le p’tit trou par lequel il venait d’entrer !!!!! On se demande donc ce que nous allons faire pour le reste de la nuit (difficile d’imaginer pouvoir se rendormir, surtout que ce cher rat semble fortement aimer l’huile de coconut !). La seule façon que nous avons trouvée pour dormir a été de laisser la lumière allumée ! Vous l’imaginez bien, le sommeil fut très réparateur.

Le lendemain, départ des îles. Nous tentons donc de nous connecter à internet pour acheter notre billet d’avion pour le retour à Kuala Lumpur. La connexion internet étant impossible, nous décidons de prendre le bateau pour retourner sur la terre ferme et trouver un moyen pour retourner soit à Kuala Lumpur ou se rendre directement à Singapour. Nous rencontrons donc des gens sur le bateau qui nous propose de prendre le train pour Singapor. Une fois au port, on essaie tant bien que mal d’obtenir des billets, malheureusement le train est plein. On décide alors de prendre le taxi pour se rendre à Kota Baru, là où se trouve l’aéroport. Mais voilà que notre sympathique chauffeur de taxi nous propose de prendre l’autobus direction Singapor. Allez hop, changement de plan, prise de billets d’autobus et direction Singapor (13 heures de bus) ! C’est ça la beauté du voyage !!!!

Cf. Album photo Perhentian

3 mois...3D

coucou à tous, c'est avec enthousiasme que nous avons fêté notre troisième mois de voyage (film 3D) à Kuala Lumpur, après Hat Yai (photos), ville de transition. Ce qui signifie que nous en sommes à la moitié! Sinon, rassurez-vous, nous sommes en Malaisie, et n'avons pas ressentie les tremblements de terre d'Indonésie!

A très bientôt

Koh Phan Gan


La farniente. Quoi de mieux que la farniente pour se remettre d'un long voyage, de troubles gastriques, ou de longues, très longues heures en train... Nous restons sur cette ile pendant encore quelques jours, à bronzer, flâner, barboter dans la piscine, lire sur la plage, trouver quelques coquillages en pensant aux prochains boutons que l'on va remplacer ou encore en se promenant sur l'ile en scooter... Je crois que l'on a fait le tour de nos activités et par la même occasion, de l'ile aussi... Ah! Que c'est bon de sentir sa peau griller doucement sous un soleil qui n'est ni humide, ni caché par un épais smog Kolkatien! Régalez-vous des photos: à consommer sans modération... et n'oubliez pas votre crème solaire, les photos risquent de vous brûler ici ;-)

Souriez ! Vous êtes en Thaïlande…


Dans notre dictionnaire du routard, Eve et moi aurions bien définis le mot « Thai » par « sourire ». En effet, dès notre arrivée, nous avons été sous le charme des Thaïlandais : Ils sourient tout le temps !!

Après un long trajet en train reliant Varanasi à Kolkata, une soirée bien arrosée avec notre CouhHoster Vinay, et un avion dont le vol est annulé une demi-heure avant, nous avons heureusement pu être transférés sur un autre vol en direction de Bangkok ! Ouf ! Nous n’aurions pas supporté psychologiquement de rester un jour de plus en Inde. Nous voilà donc à Bangkok. Et c’est là, contre toute attente, que nous subissons notre premier « choc » culturel ! Nous entrons dans les entrailles de Bangkok, ville civilisée, modernes, riches, grouillante et super propre (Cf. Album Bankok) ! Après L’Inde nous nous étions pourtant dit :

- « Bon, là, la Thailande, ça va être plus simple mais quand même pas du gâteau… ».

Nous n’avons jamais vu des toilettes aussi propres! (peut-être une exception, pour un coin du Cap-de-la-Madeleine dont je ne citerai pas l’adresse!). Donc premier rapport avec ce pays très positif. Nous arrivons alors tant bien que mal dans le quartier des BackPackers dans le but de trouver un petit hôtel. Hôtel trouvé, nous partons à la découverte de ce quartier : Khao San Road. Paradis de superficialité où l’esthétique rivalise avec la boisson, où la frénésie de la consommation s’éprend des jeunes du monde entier venus chercher la fête: Sea, Sex and Fun. L’Ibiza de l’Asie. Nous ne cherchons pas cela… Heureusement, nous trouvons autre chose, la gastronomie thaïlandaise nous dévoile ses secrets ;-). C’est notre paradis à nous. Nouilles chinoises, insectes en tout genre, fruit à gogo, brochettes de toutes sortes de viandes, légumes, soupes… Miammmm !! Nous nous exaltons et en plus, notre estomac l’accepte, à l’exception de quelques maux résiduels. Le contraste avec l’Inde est de taille, et nous l’apprécions matin, midi et soir, quand il s’agit de se nourrir mais aussi avec les nombreux massages que nous nous accordons !


Après une visite éclaire du quartier chinois et de quelques temples bouddhistes, nous pointons notre boussole direction plein Sud, pour l’Ile paradisiaque de Koh Tao (une nuit de train+1hbus+3h de bateau) où nous permettrons à nos estomacs et à nos cerveaux de relaxer pour AU MOINS quelques jours afin de se remettre de l’Inde et d’effectuer une transition avec le reste du voyage, tout en douceur…(Cf. Album Koh Tao) De plus, une plongée, des plus belles de notre voyage, est effectuée dans une eau transparante.Le bonheur existe: nous l'avons rencontré par 12m de fond.

Remis de nos émotions, et malgré un hotel très decevant, direction Koh Phan Gan, pour quelques jours de repos suivant les précédents jours de repos ;-)… Vive la Farniente !! (Cf. Album Koh Phan gan)

Inde : Le bilan

A venir...

Varanasi


Après nos péripéties aquatiques de Dehli, une course folle en taxi à travers les bouchons de la ville le lendemain, et un sprint digne de Ben Johnson pour attraper le train en direction de Varanasi (quelques minutes à peine avant son départ : ouf !). Les 17h de train nous ont paru finalement plutôt tranquilles, telles le repos des guerriers…Varanasi est l’une des plus vielles villes d’Inde et l’une des plus mystique, de part son attrait dans la crémation (plus de détails au prochain blog) des morts dont le reste des cendres est jeté dans le Gange, quelques mètres seulement avant les laveries et les ablutions Brahmanesques…selon les indiens, il n’y aurait pas une seule bactérie dans le fleuve de part son caractère sacré… nous, nous sommes certains que cette eau pourrait servir à produire de l’énergie nucléaire, plongez-y et vous ressortirez fluorescent radio-actif ;-)

Cf Album

Agra



Ville du Taj Mahal et autres palais…Mais surtout ville la plus visitée. Les arnaques sont à chaque coin de rue : faux billets de train, faux offices de tourisme gouvernementaux, faux policiers, faux bijoux, tarif plus cher qu’a Dubaï pour une qualité plus que médiocre…L’indien se révèle d’une créativité extraordinaire, il maîtrise sans équivoque l’art de duper. Bref, le touriste et le faux sont plus présents qu’ailleurs, mais ceux-ci sont quand même balayés par la splendeur du Taj Mahal, et par quelques rencontres bien rigolotes (Vicky Schumaker, Universal Ricshaw Champion Chip, Cf. Album)

Delhi

Ville de transition : un film vaut mille mots…


Cf. Album


Shimla, ville dans les montagnes...et les nuages!
Album

Chandigarh, ou modernisme et calme sont plus présents....
Album


Et voila l'une des merveilles de notre voyage: Le temple d'or d'Amritsar!
Cf Album

Jaïpur, ville des merveilles


Jaïpur est la capital du Rajasthan et l’une des seules villes indiennes un peu ancienne conçue par un urbaniste. Plusieurs édifices ont été construits en grès rose, ce qui lui vaut le nom de Ville Rose (comme Toulouse). Comme la plupart des grandes citées urbaines, la ville s’étant sur plusieurs kilomètres et est extrêmement polluée. Toutefois, cette ville aux multiples facettes, nous livres ses secrets à travers ses monuments. Tout d’abord, le Hawa Mahal ou Palais des vents, situé au beau milieu de la ville et entouré de bazars en tout genre et d’attrape touristes allant avec… Heureusement, l’intérieur n’est pas décevant et vaut la chandelle du labyrinthe permettant de trouver l’entrée !

Ensuite, direction Jaigarth Fort où nous arrivons, à 5 minutes de la fermeture (trafic hallucinant !). Heureusement, le garde de fermeture nous prend en charge et nous invite à le suivre pour fermer tout le fort. Résultats : visite privée (et rapide) de tous les recoins du fort… Encore un signe du formidable accueil des indiens qui sera confirmé lors de notre soirée à travers un voyage dans l’Inde ancestrale au sein d’une sorte de parc d’attraction destiné aux indiens et leur permettant de se remémorer leurs anciennes traditions. Dépaysement assuré ! Merci encore à nos hôtes Sunny et Neelam !

Le lendemain, visite du Water Palace et d’une manufacture de Tapis fait main… Impressionnant !

Cf. Album photos



« Little Johnny », le belge de l’inde…

for years he thought he was a damn good lover………..but then…………….he found…………his wife had asthma !

4h du mat’ dans le train Udaipur-Jaipur…

Insomnie, odeurs, bruit, mouvements…10h de train…Pas possible de dormir…Et hop, c’est partie pour un « desperate housewife» : C’est aussi cela notre voyage ;-)

Dia Ré Mi Fa Sol La Si Do, concerto pour touristes…


Et c’est une symphonie même. Après que Eve ai terminé sa grippe à Mumbai, il va de soi que mon tour vienne ! Mais avec l’accumulation des 17h (!!) de train pour se rendre à Udaïpur et de la présence d’une famille de 4 pour 2 couchettes… autant dire que le repos à l’hôtel Dream Heaven pendant une nuit est fort apprécié ! Mais c’est alors que la tourista nous rend visite…Eve et moi, un peu affaiblie par la grippe, décidons de nous prendre en main et de bien manger pour reprendre des forces. Et vous avez beau faire attention : pas d’eau, pas de fruit etc… nous n’y coupons pas : La tourista nous frappe, et ici, c’est monnaie « courante ». Nous ne comptons plus maintenant nos heures d’expérience en position assise mais plutôt celles que cela nous prend avant de digérer afin de prévoir de ne pas se retrouver par exemple dans un train à ce moment là…oh non ! Mais assez parlé de ce qui ne fait quand même pas nos journée : nous voici donc à Udaipur (-Udaï- de son Maharana créateur et –Pur- la ville) ville aux premiers abords très touristique car nous y croisons plus de blancs que nous n’en avons vu durant tout notre voyage en Inde! Au deuxième, cela est confirmé, toute les boutiques sont munies d’un automate essayant de déterminer votre langue et de sortir un phrase du type « YA pas de lézard » afin de vous surprendre et d’attirer votre attention…Jusqu’au guide du City Palace, une ville dans la ville, qui nous invite « gratuitement » a boire un thé chez son oncle qui finalement nous déballe toutes ses toiles. Nous attendons tjrs notre guide qui nous avais dit « je vais faire une commission et je reviens »... Au retour de notre journée, nous retournons à l’hôtel et sommes accueillis par « Dobakaracol » puis « debout sur le zinc » en fond sonore, rappellez-vous, nous sommes au fin fond de l’INDE, c’est l’extase dans les rangs...Figurez-vous que « Deep », le propriétaire de l’hôtel a une fille avec une lyonnaise qui vit à Québec…La soirée se termine par le festival nationale de Krishna, où, après quelques chorégraphies Bollywoodienne (Hommage à Yanick, professionnelle amatrice du domaine ;-)), plusieurs équipes se défient pour faire une pyramide humaine (d’au moins 5 étages!) afin d’attraper une jarre remplie de roupies pendant que la foule en délire les aspergent avec une sorte d’huile, rendant la tache bien plus difficile… Photos ici...

Get a « grippe »


Journée particulièrement éprouvante aujourd’hui… Après les symptômes de grippe d’Eve ainsi que la présence de souche de H1N1 à Mumbaï, nous prenons la décision d’aller faire un dépistage à l’Hopital de Mumbaï, sans toutefois prendre de risque car nous savons qu’il s’agit d’un simple frottis dans la gorge. Nous commençons par l’hôpital privé bien évidemment…. Mais pas de dépistage autorisé par le gouvernement ici… C’est alors que commence les 12 travaux… D’abord, nous arrivons à la « registration » dans des locaux plus qu’insalubres (les clichées sont complètement fondés…). Heureusement, notre « expert-guide-généreux de son temps (Naguesh, Cf Photos) !! » nous ayant amenés, nous traduit les panneaux et la démarche à suivre. Après s’être trompé de queue une première fois, direction l’autre bout de l’hôpital pour le RDV, qui n’est en fait que la confirmation de la registration… le RDV, lui, se fait de l’autre coté, là où nous étions donc... Le plus drôle étant le fait qu’à chaque étape, une personne réecrit votre document à la main, pour en arrivée à la cinquième personne qui pourrait vous dire :

« -Vous êtes la pour un accouchement ? »

A savoir pour l’anecdote qu’en Inde, lorsque vous

attendez dans une queue, 50cm entre vous et la personne devant vous signifie que vous laisser une place… « Ajoutez- y le bruit et l’odeur » (pas de copyright sur cette phrase)… Nous arrivons donc à la dernière étape avant la prise de l’échantillon dans la gorge et surprise, il n’y a plus de coton tige pour prendre l’échantillon ! C’est alors en urgence qu’est demandé un lot à l’hôpital voisin, lot arrivant en Ambulance….prise dans les embouteillages ! Résultats : 2h d’attente !

Comprenez bien qu’un après-midi comme celui-ci nous permet de relativiser la lenteur de notre système de santé… au moins il existe ! C’est donc rassurés, mais vidés, que nous retournons chez Anu, avec une simple grippe pour bagage !

Heureusement, le lendemain c'est détente avec la visite d'un parc national...à moto!! cf album!


Mumbaï, Freinez s’y…


Nous voila arrivés à Mumbaï ou les premières minutes sont à l’image du pays. L’agent du « money exchange » nous propose son téléphone portable pour joindre notre hôte couchsurfing : Anu, boss de l’OCS Co., sorte de Fedex japonais local. L’accueil est sans égal. Sortis de l’aéroport, le contraste avec Dubaï se fait sentir (au sens figuré comme au sens propre) mais « l’expérience comorienne » nous permet de nous adapter tout de suite, et même d’apprécier dès notre arrivée, la ville, via notre course poursuite dans celle-ci avec un RickShaw (sorte de mobylette avec siège 2 personnes à l’arrière) pour nous rendre au centre-ville de Mumbaï (Attention, ne plus dire Bombay…). Prenez note que si jamais vous allez à Mumbaï et que vous prenez un rickshaw, négociez AVANT…Le genre d’expérience qui vous fait perdre quelque dollars au début, une fortune pour un conducteur de rickshaw...

–« BACKSHISH ($), BACKSHISH ($) !! » comme ils disent…

Et c’est parti pour une envolée d’odeur à la Amélie Poulain, mélange de toute les épices mais aussi de toutes les défécations, c’est aussi cela l’Inde…ou du moins le peu que l’on a déjà vu !

Première soirée au sein de la population huppé de la ville, Anu, sorte de guide touristique de bar et boite de nuit branchées nous amène dans tous les bars les plus huppés de la ville et nous sentons bien a travers son interaction que ce n’est pas la première fois qu’il vient…Tous nous est offert, la frénésie de la nuit nous prend, boissons occidentale (bieres, vin…) musique « bollywoodesque » mais aussi « pop » bien connue de nos ouïes. Dure-dure l’intégration ;-)

Dans quelques jours, après avoir visité Mumbai, nous projetons d’aller à Udhaipur, le contacte avec la population sera probablement différent car pour l’instant, le décalage n’est pas de taille. Affaire à faire et à suivre… CF photographies...

A&E

Comme un poisson dans l’EAU (Émirats Arabes Unis) !


L’Atlantis existe ! Nous l’avons visitée et son entrée est même gratuite… Elle n’est en fait pas sous l’eau mais inondée d’aquarium en tout genre… les photos parlent d’elles-mêmes! Et ce n’est pas le froid de « Ski Dubai » qui nous a arrêtés dans notre visite de cette frénétique ville, car ce n’est autre qu’un énorme centre d’achat ou Mall, qui l’abrite. Vous pouvez, en plus de skier (descente de moins de 2 minutes par -3 degrée Celsius), vous réchauffer dans l’après-ski devant un foyer (HD 30 pouces minimum) avant de retourner faire vos achats quotidien dans le Mall… Ensuite, nous prenons la direction du « Mina Salaam », hôtel 5*, où il est possible d’aller à sa chambre via un petit bateau sur le canal artificiel habité de tortues, longeant la plage de sable blanc… De cette plage nous distinguons le « burj Al », hotel 7* s’élevant vers le ciel, où Tiger Woods aime à frapper quelques balles de Golf sur l’Héliport… Mais où s’arrête la folie de ce pays ? Pas à sa consommation d’énergie en tout cas !

Serré contre l’hôtel, le souk Madinat nous ouvre ses portes, ses couleurs et ses odeurs, malgré l’aseptisation americano-dubaïenne qui transpire dans ses murs. Heureusement, nous finissons la journée par l’un des plus beaux spectacles de Dubaï, mais vu du ciel : Merci Alnoor et Yasmina pour ce filon… Petit verre de vin blanc Colombelle à l’un des bar les plus « select » de Dubai, « The Adress » (c’est bien son nom), 69ième étage de l’un des plus haut building de la ville. La vue est directe sur le « Burjuman bulding » (le plus haut du monde…pays des superlatifs !) et sur le spectacle des jets d’eau… bonne vidéo ! Cf photos & videos...

Des sablés pour désert ?



Les terres des Émirats nous offrent ce qu’elles ont de plus typiques: désert et chaleur, à perte de sueur et de vue… c’est donc par 55 degrés Celsius que nous sommes partis avec notre 4x4 de location (Mitsubishi Outlander 2.4L, 15 dollars CAD le plein d’essence…) vers notre premier objectif : le désert de Jebel Ali et son « Fossil Rock »… Et c’est après une centaine de km de routes a travers le désert et 100m dans notre première dune que nous avons décidé de respecter la 8ième ligne de notre contrat de location :

-« No off-road with a rented car (…)» plus par sécurité que par sens du devoir ;-). C’est donc après un demi-tour dans les dunes (tâche délicate…) que nous avons pris la direction de Hatta (ville accessible par des routes de montagnes, elles-mêmes situées au milieu du désert!).

Hatta Hill pour être plus exacte géographiquement, est une petite ville perdue, dont le centre est muni d’une colline complètement artificielle et arrosée toute l’année : un petit poids dans l’immensité désertique et montagneuse… Petite pause déjeuner : salade de riz maison et dattes… Ensuite, direction le fort de Hayl, installé dans les montagnes, vieux de 200 ans et coincé au sein d’un « Wadi » ou puits d’eau et donc d’espoir pour les locaux… Mais en cette période de l’année, n’est d’eau que la salive des chameaux que nous avons pu croiser sur notre route! CF Album photos...